Institut NeuroMyoGène
    Laboratoire Physiopathologie et Génétique du Neurone et du Muscle
    CNRS UMR 5261 -INSERM U1315
    Université de Lyon - Université Claude Bernard Lyon 1
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DEVENIR DE L’ARN POLYMÉRASE I ET DE L’ADN RIBOSOMIQUE LORS DE LA RÉPARATION DES LÉSIONS INDUITES PAR LES UV

Laurianne DANIEL – Directrice de thèse Ambra Giglia-Mari – Équipe Giglia-Mari

La réparation par excision de nucléotides (NER) garantit l’intégrité du génome lors de l’exposition aux rayons UV. Après irradiation aux UV, un des premiers problèmes rencontrés par la cellule est l’arrêt général de la transcription dû au blocage de l’ARN polymérase II (ARNP2) au niveau des lésions UV. Pour régler ce problème, le NER possède une voie de réparation spécifiquement couplée à la transcription (TCR). Les connaissances concernant le NER ont été obtenu via des études sur la transcription par l’ARNP2. Cependant, dans les cellules à fort métabolisme, plus de 60% de la transcription correspond à la transcription, dans le nucléole, de l’ADN ribosomique (ADNr) par l’ARN polymérase I (ARNP1). De nombreuses protéines sont absence du nucléole, c’est pourquoi certains processus nucléaires ne peuvent avoir lieu dans cette structure. Afin d ‘être répliqué et réparé, l’ADNr se déplace à la périphérie du nucléole. Malgré l’importance de la transcription par l’ARNP1, la réparation de l’ADNr a été peu étudiée chez l’homme. De plus, à notre connaissance, aucune étude ne s’est penchée sur le mécanisme moléculaire du déplacement de l’ADNr à la périphérie du nucléole. Notre étude démontre l’implication de la TCR dans la réparation de l’ADNr après lésions UV induites. De plus, nos recherches ont démontré que l’ARNP1 reste accrochée à l’ADNr et sont tous les deux délocalisés à la périphérie du nucléole après irradiation aux UV. Enfin, nous avons identifié l’actin et la moysine I nucléaires comme facteurs protéiques nécessaire à cette délocalisation.


Plus d’informations sur la recherche de l’équipe Giglia-Mari


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